domingo, 17 de febrero de 2013

FRÈRES


Des frères, le sang, des frères, l'enfance,des frères, pâte à modeler colorée.

Par les frères, nous appelons son ami, par les frères, nous étudions ce qui ne peut passer seul, nous heures de la rébellion adolescente restent du côté.

Sans les frères, la solitude profonde, l'identité frustré, soins inadéquats.

Contre les frères, les reproches, contre les frères, au fond, rien de rien.

Pour les frères, nous aimons les mêmes personnes et nous serons en pierre pour les dire au revoir, ensemble, un jour.

Grâce aux frères, l'aventure, le plaisir de jouer à ce que nous croyons être réel et important ... grâce aux frères, nous avons pu réaliser nos rêves inconscients de l'époque ... et ces rêves, nous verrions quelques années ensemble plus tard, pas si nombreux, que ne sont que le produit de fiction des enfants.

Avec les frères petit-déjeuner,avec les frères, le lait, le chocolat inventé, ce gâteau que nous devrions refaire

Et encore, roue le cycle et retourne au début des frères, et, avec elle, mes mots,

Des frères, par,sans, contre, pour, grâce et avec eux, marchons ensemble la dernière étape, laissant la voie individuelle qui nous séparait à l'âge adulte, une parenthèse dont nous avons à parler, à la fin, dans la dernière marche, se penchant sur cette canne de laquelle nous rions au debout.

Traduit par José Serrano